« OpenLux » : enquête sur un séparatisme

« OpenLux », une enquête réalisée en partenariat avec six médias internationaux (Süddeutsche Zeitung, Le Soir, OCCRP, IrpiMedia, McClatchy et Woxx), révèle une opération de détournement du trésor public des Nations (« optimisation fiscale ») au sein même de l’Union Européenne.

Assécher les fonds publics, saper les Nations

Le fondamentalisme religieux est une forme de séparatisme. Le refus de participer à l’effort de solidarité nationale à tracter la mise en place de montages financiers de grande ampleur en est une autre.

En effet, assécher le trésor public des Etats-Nations rend ces derniers plus vulnérables aux influences étrangères anti-démocratiques, à l’installation de zones d’influence sectaires au sein du territoire et à la mise en danger physique et morale des fonctionnaires en charge de l’instruction publique et de l’application des lois et principes de la République (police, justice, armée de défense, corps enseignant, personnel hospitalier…).

Après un an de recherches, plus de 3 millions de documents analysés et la création d’une base de données inédite, Le quotidien français Le Monde a été en mesure de révéler aux citoyens la face cachée du Luxembourg, un « paradis fiscal » situé dans l’espace politique de l’Union européenne.

Les journalistes révèlent que près de la moitié des entreprises commerciales enregistrées dans le pays sont de pures holdings financières.

Ce réseau de sape de fonds publics sur le sol de l’Union européenne est constitué notamment par des individus dont certains jouissent de la nationalité française

Le Luxembourg a 55000 sociétés offshore gérant des actifs de 6500 milliards d’Euros. 15.000 français cachent 100 milliards d’actifs.

Voilà où passe le manque indécent à gagner des professeurs, des soignants,…et des fonctionnaires de première ligne qui s’épuisent au service du bien commun.

Ces fossoyeurs de la République seront-ils exposés à des peines à la hauteur de leur trahison ?

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redaction

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CM (animateur de communauté sur les réseaux sociaux) / Correspondant(e)s à l'étranger / Contributeurs/trices occasionnel(l)es / Stagiaires JRI et stagiaires presse écrite dans la rédaction pour moins de 3 mois.

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