Frédéric Leclerc-Imhoff, journaliste reporter d’images à BFMTV, a été tué en Ukraine par un éclat d’obus, alors qu’il suivait une opération humanitaire dans un véhicule blindé. Le président de Reporters Sans Frontières, Christophe Deloire, a réagi ce lundi soir sur BFMTV.
Le parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé ce lundi l’ouverture d’une enquête pour crimes de guerre, après la mort de notre journaliste reporter d’images, Frédéric Leclerc-Imhoff, tué dans la région de Severodonetsk, en Ukraine alors qu’il couvrait avec son équipe, un convoi humanitaire.
A sa sortie du conseil européen sur les sanctions prises contre la Russie, Emmanuel Macron s’est dit prêt à mener toutes les actions juridiques pour les enquêtes et les actions concernant la mort de Frédéric, aillent à leur terme, informe BFMTV.
« Dans cette histoire, rien n’a de sens. On ne meurt pas à 32 ans, on ne meurt pas d’avoir informé. On ne meurt pas dans un convoi humanitaire. On ne meurt pas quand on porte un gilet. On ne meurt pas quand on est tellement respecté, soutenu et aimé. », écrit pour sa part le collectif YouPress.
Selon Reporters sans frontières (RSF), est le huitième journaliste tué depuis le début du conflit ukrainien.

redaction

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