La justice a infirmé, jeudi 19 janvier, l’ordonnance du tribunal de commerce de Nanterre (Hauts-de-Seine).
Le secret des affaires ne peut davantage être opposé aux journalistes de Reflets qui ont fait leur travail d’investigation », a estimé la cour.
En outre, la cour a condamné les sociétés Altice France, Altice Group Lux et Valais Management Services (qui gère la fortune de Patrick Drahi) à verser 5 000 euros de frais d’avocats à la société Rebuild.sh, société éditrice de Reflets ainsi que 2 000 euros au Syndicat national des journalistes (SNJ).
Aussi, la justice autorise « Reflets » à publier de nouveaux articles à propos d’Altice à partir de données piratées. La cour d’appel de Versailles et ses trois magistrats ont ainsi tranché en faveur du droit à l’information.

redaction

Derniers articles parredaction (voir tous)
- Indaba, le ChatGPT du continent africain - 15 mars 2023
- Iran : la grève du 7 mars - 6 mars 2023
- Pour un journalisme climatique qui fait ses preuves - 2 mars 2023
- TikTok banni de la Commission Européenne - 23 février 2023
- Libérez Morteza ! - 10 février 2023