« Ex-correspondante en Egypte, j’étais soulagée d’avoir pu éviter les geôles de la dictature, mais c’est finalement les services de mon propre pays, la France, qui m’ont traquée et arrêtée pour avoir fait mon travail avec Disclose » : ces mots, ce sont ceux d’Ariane Lavrilleux.
La journaliste française sort de 39h de garde vue par la DGSI pour avoir enquêté sur les exportations d’armements de la France vers les dictatures. Une méthode qui surprend, dans un pays où la liberté de la presse importe.
The following two tabs change content below.

redaction
CM (animateur de communauté sur les réseaux sociaux) /
Correspondant(e)s à l'étranger /
Contributeurs/trices occasionnel(l)es /
Stagiaires JRI et stagiaires presse écrite dans la rédaction pour moins de 3 mois.

Derniers articles parredaction (voir tous)
- A Gaza, la presse paye un lourd tribut - 31 octobre 2023
- Le journaliste palestinien Roshdi Sarraj tué - 22 octobre 2023
- Ariane Lavrilleux, libre - 22 septembre 2023
- Les yeux dans les bleu et blanc - 2 septembre 2023
- Strasbourg, capitale mondiale du livre - 17 juin 2023