Ariane Lavrilleux, libre

« Ex-correspondante en Egypte, j’étais soulagée d’avoir pu éviter les geôles de la dictature, mais c’est finalement les services de mon propre pays, la France, qui m’ont traquée et arrêtée pour avoir fait mon travail avec Disclose » : ces mots, ce sont ceux d’Ariane Lavrilleux.

La journaliste française sort de 39h de garde vue par la DGSI pour avoir enquêté sur les exportations d’armements de la France vers les dictatures. Une méthode qui surprend, dans un pays où la liberté de la presse importe.

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